Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (9) : Rachid Solution Ou Prédateur ?

Compte tenu de ce qui s’était passé à Rio, où je m’étais livrée à des inconnus, on aurait pu penser que j’avais définitivement renoué avec mon hypersexualité et que je serai enfin d’accord avec les invitations de Philippe au candaulisme.
Et bien non ! Mon ultime résistance dura quelques mois, jusque juillet 2007. Je vais raconter comment un jeune beur de la zone sensible de notre ville, Rachid, est devenu celui qui m’a fait définitivement basculé, en devenant mon mâle. Mais, avant de parler de cette rencontre, qui ne doit en fait rien au hasard, contrairement à ce que je croyais au départ, je veux parler de Rachid et du comment il s’est retrouvé sur ma route.
Mon ultime résistance désespère Philippe
Philippe m’accueillit à l’aéroport plus amoureux que jamais, avec un immense bouquet de roses :
• Ma chérie, je suis si heureux. Ce que j’ai entendu au téléphone confirme ce que je savais. Tu as besoin de mâles, c’est indispensable pour ton équilibre. Et moi je veux seulement ton bonheur et ton plaisir.
• Mon Philippe c’est vrai que je n’ai jamais eu autant de plaisir. Mais ce qui s’est passé me fait peur. Dans ces cas-là, je ne contrôle plus rien. Je les ai crus sur parole quand ils m’ont dit qu’ils étaient sains et je me suis faite prendre sans préservatif, leur demandant de jouir en moi. C’est de la folie furieuse, avec les MST ou encore pire le SIDA. Ou imagine que je me retrouve enceinte de l’un de ces types. Non chéri, je n’ai pas confiance en moi, ni d’ailleurs en toi pour me freiner : je ne dois plus recommencer ça !

Philippe était sous le choc de mon nouveau revirement. Il se consola dans un premier temps en examinant avec un immense plaisir la vidéo réalisée lors de la partouze avec Pedro, Joao et Luis. Il tenta de revenir à la charge, mais je lui fis comprendre sèchement que je ne voulais plus qu’il me harcèle avec ses fantasmes, que ce qui s’était passé était un accident et qu’il était hors de question que ça se reproduise un jour.



Mon isolement s’était encore accru et ma frustration également, d’autant que j’avais goûté au Brésil tout ce que pouvait m’apporter un retour à ma tendance naturelle de l’hypersexualité. Pour éviter les tentations, j’avais décidé de cesser toute sortie, tout événement mondain, tout contact avec un homme autre que Philippe.

Philippe se disait qu’il avait tout essayé et que, du fait de mon entêtement à refuser ma nature, il ne voyait plus quelle autre piste explorer. C’est alors que Georges le concierge entra en jeu, mettant sur notre chemin Rachid le prédateur. Un moyen pour le concierge, sous couvert de rendre service à Philippe, de se venger de ce que je lui avais fait deux ans auparavant, en l’accusant à tort d’agression.

Quand Philippe demande conseil à Georges

J’ai su plus tard que Rachid n’avait pas croisé ma route par hasard.

Philippe, en désespoir de cause, a fini par s’ouvrir à Georges le concierge.

• Pardonnez-moi, Monsieur T. je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais je vous sens préoccupé ces derniers temps. C’est à cause de Mme Olga, n’est-ce pas ?
• Je sais que vous lui en voulez beaucoup à la suite de ce qui s’est passé il y a deux ans et des ennuis que cela vous a causés. Mais si je peux en parler à quelqu’un, ça me fera du bien.
• Vous pouvez. Je sais que c’est compliqué pour elle. Ses instincts, son corps, réclament une chose, comme ce fut le cas ce soir-là avec moi. Sa tête continue à dire non, c’est toute la difficulté.
Philippe expliqua alors au concierge ce qui s’était passé au Brésil et mon revirement depuis mon retour. Il dit à Georges qu’il ne savait plus quoi faire, ayant tout essayé.
• J’ai peut-être la solution à votre problème.
• Vraiment, Georges ? je vous en serai éternellement reconnaissant !
• Je pense que j’ai celui qu’il vous faut. Une fois qu’Olga l’aura rencontré et qu’il l’aura baisée, elle fera tout ce qu’il veut.
Il s’agit d’un jeune beur du quartier sensible de notre ville, Rachid. Un petit voyou, mais les femmes disent qu’il est beau comme un Dieu. Il est musclé, viril, un amant exceptionnel. Il s’appelle Rachid, il a 19 ans.
• Vous pensez qu’il fera enfin assumer à Olga son hypersexualité ?
• C’est une certitude ! Mais je dois vous prévenir : c’est un fauve, un macho, sans scrupules. S’il met la main sur votre épouse, elle deviendra sa femelle, il en fera ce qu’il veut et il est capable d’aller très loin. Vous devez en être conscient.
• Ce qui compte, est qu’il fasse jouir Olga. Il sera d’accord pour la baiser devant moi ?
• Le connaissant, je ne doute pas que cette idée ne lui plaise beaucoup !
• Mais comment le connaissez-vous ?
Rachid, la réputation d’un fauve
Georges expliqua à Philippe que Rachid avait été dans la même classe que son fils Gilbert au lycée.
• Vous avez entendu parler de ce qui s’est passé dans ce lycée il y a deux ans avec ce professeur de Français, Sylviane J. ?
• Vaguement, je me souviens que ça avait fait beaucoup de bruit.
• Sylviane était la prof de Français de Gilbert et de Rachid. Une jeune femme de près de 40 ans, très coincée, un visage un peu ingrat, un peu le genre de l’actrice Anémone, vous voyez, mais un très joli corps. Elle était réputée comme très coincée et très sévère. Rachid avait parié avec Gilbert qu’il la sauterait.

Georges raconta à Philippe comment Rachid s’y prit pour faire « tomber » la prude Sylviane.

La faiblesse de celle-ci était qu’elle vivait seule et n’avait, depuis longtemps, aucune relation. Rachid avait deviné sa frustration. Elève intelligent, brillant, il ne cessait de la provoquer. Plus elle sévissait, plus il continuait. Un jour, alors qu’elle avait demandé un devoir sur table, elle voyait que sa feuille était blanche. Elle s’approcha pour contrôler et s’aperçut qu’il avait une formidable érection. Loin de se troubler, il la regarda dans les yeux, toucha la bosse qui déformait son pantalon et écrivit sur sa copie « C’est toi qui me fait bander.
J’ai envie de toi, on se retrouve à la fin du cours et je vais te niquer » Sylviane tenta de se donner de la contenance et dit à Rachid « Monsieur A, vous restez à la fin du cours, nous avons à parler.»

A la fin du cours, Sylviane tenta de se donner bonne contenance :

• Maintenant Rachid, ça suffit avec ton attitude. Nous allons dans le bureau du proviseur et je vais demander des sanctions.
• Tu ne demanderas rien du tout. Si tu m’as demandé de rester après le cours, c’est que tu as envie d’un mâle, salope !
• Comment oses-tu ?
• J’ose parce que tu vas être à moi. Et pas plus tard que maintenant.
Rachid a pris la main de Sylviane et l’a posée sur sa braguette. Au lieu de résister, de protester, la femme s’est laissée faire et a laissé sa main sur le jeans du jeune beur, fascinée par ce qu’elle touchait.
• Je savais que ça t’intéresserait ! Ne te gêne pas, ouvre la braguette. Sors-la !
Hypnotisée, Sylviane, d’habitude si réservée, obéissait, dans un état second. Rachid avait deviné que cette jeune femme était frustrée. Sylviane avait un joli corps, mais son visage était assez ingrat et surtout elle était d’une immense timidité. Elle vivait seule, n’avait pas de relations et les quelques aventures qu’elle avait connues l’avait laissée sur sa faim. Elle sortit le sexe de Rachid du pantalon, il ne portait pas de slip.
• Elle te plait ? Alors vas-y, je n’ai pas que ça à faire. Branle-moi ! Approche-toi que je te roule une pelle.
La main de Sylviane ne faisait pas le tour de la verge en érection. Elle commença à le masturber. Manifestement, il appréciait et accentuait sa domination. Sa langue força les lèvres de Sylviane, elle ouvrit la bouche et répondit à son baiser. La langue de Rachid possédait celle de son professeur, elle abandonnait toute résistance, ne pensant pas aux conséquences et qu’elle était dans une classe, où ils pouvaient être surpris. Sylviane n’était certes pas vierge, mais, pourtant femme mure, n’avait jamais connu le plaisir avec un homme.
Ce jour-là, elle allait appartenir à un mâle, à un prédateur.
• C’est vrai que ton visage est assez moche, ton nez notamment. A partir de maintenant, tu seras maquillée comme une poufiasse. Mais je sais que tu caches ce que tu as de plus joli. En attendant, j’ai envie que tu me suces !
• Je n’ai jamais fait ça !
• Tu te fous de moi ? A genoux ! Approche ta bouche, ouvre-la !
Rachid prit la tête de Sylviane entre les mains et enfonça sa verge au fond de sa bouche. La femme eut un haut-le-cœur, mais ce n’était pas de nature à arrêter Rachid.
• Serre tes lèvres autour de la tige ! Oui, comme ça ! Maintenant passe ta langue sur mon gland. Oui, sous le méat. T’es douée, tu sais ! Maintenant, tu vas bouffer mes burnes. Elles sont lourdes, pleines de semence. Elle sera pour toi !
Sylviane obéissait, sans se douter qu’un témoin ne perdait pas une miette de la scène et filmait tout avec son mobile. Il s’agissait de Gilbert, le fils de Georges et qui était un ami de Rachid, son voisin de table en classe.
Rachid prit la tête de Sylviane, toujours à genoux, et enfonça à nouveau sa queue dans la bouche de son enseignante. Il s’enfonçait bien au fond de la gorge et se servait de cette bouche comme d’un vagin. Sylviane ne cherchait pas à se dérober, mais les larmes lui coulaient des yeux, sa salive coulait de ses lèvres, elle ne pouvait pas réprimer ses nausées.
• T’as jamais bouffé de bites, chienne ? Et bien avec moi, tu vas être servie ! C’est quoi ton problème ? Oui, je l’ai pas lavée ce matin et, avec des potes, on a sauté hier soir une salope dans une cave de la cité. C’est l’odeur d’un mâle, faudra t’y faire !
• Ce n’est pas l’odeur, mais tu vas si profondément. Je ne pouvais plus respirer.
• Ça aussi il faudra t’y habi. J’aime les gorges profondes ! Bon c’est pas le tout, on a peu de temps, on n’est pas là pour que tu me branles ou que tu me pompes, je suis là pour te baiser ! A poil, et vite !
Sylviane se déshabilla. Elle me raconta bien plus tard qu’elle se disait qu’elle était folle, mais une force irrésistible la poussait. On était en hiver et la jeune femme était habillée sage, strict, même, avec un tailleur. Elle se retrouvait en soutien-gorge et en culotte dans sa classe.
• Punaise, combien de couches tu mets ! C’est vrai que j’avais raison, t’es bandante ! A l’avenir, je veux que tu t’habilles court, genre ras la touffe, qu’on matte bien tes jambes. Tu porteras aussi des trucs décolletés et surtout plus de soutif ! Et tu ne mettras de culotte qu’avec mon autorisation. Je te veux toujours prête pour moi, pour me vider les couilles !
Rachid fit tomber le soutien-gorge et se mit à tripoter les seins de Sylviane.
• T’as de super lolos, ma salope ! Ils sont bien fermes, assez gros. Une autre fois je te ferai des choses avec ta poitrine, par exemple une branlette espagnole ou une cravate de notaire !
Sylviane aurait aimé qu’il caresse ses seins, la couvre de baisers. Rachid n’était pas le genre à s’attarder à des préliminaires. Cette femme était désormais à lui, il voulait la prendre, achever de la dominer.
Il arracha la culotte et la mit dans sa poche.
• Fini désormais ce genre de culottes que portait ma grand-mère ! Mais dis donc, elle est humide ta culotte. Tu jouais les saintes nitouches, mais tu crèves d’envie, cochonne !
Rachid se mit à explorer avec un doigt la chatte de Sylviane. En effet, elle était trempée et béante. Il lui mit un second doigt, puis un troisième.
• Oh oui, doigte-moi, branle mon clito ! Tu me rends folle !
• J’ai mieux pour toi, mais tu vas le réclamer toi-même ! Je t’écoute, dis ce que tu veux, je sais que tu en crèves d’envie !
• Oui, Rachid, prends-moi !
• Plus fort, sois plus crue, salope !
• Baise-moi ! Qu’est-ce que tu attends, j’en ai trop envie !
• Assied toi sur le bureau et mets tes jambes sur mes épaules. Comme ça je te la mettrai bien profond, je pourrai voir la jouissance dans tes yeux, te rouler des pelles et m’occuper de tes miches. Et ça m’excite de te sauter sur ton bureau !
• Oh oui, mon chéri. Tu n’as pas de préservatif ?
• Et puis quoi encore ? Tu es ma femelle désormais, je vais me vider en toi. Dis-le que tu es OK, sinon je te plante ici
• Oui mon amour, je suis folle mais je suis à toi. Tu peux faire de moi ce que tu veux!
• Je ne vais pas me gêner, Sylviane. Prends ça ! Tu la sens bien ?
• Ohhh, qu’elle est grosse. Je n’ai jamais été remplie comme ça. Oui, c’est bonnnn
• Tu te fais jamais ramoner la chatte ?
• J’ai eu quelques liaisons. Elles m’ont toutes déçu. Peu d’hommes s’intéressent à moi. Mon air austère, mon visage, mon côté intello.
• On va rattr le temps perdu !
Et Rachid se mit à pilonner Sylviane. Pour celle-ci, qui n’avait jamais connu autant de plaisir, c’était un nouveau dépucelage, une vraie première fois. Avec lui, m’a-t-elle raconté plus tard, elle a connu beaucoup de pratiques sexuelles qu’elle n’imaginait pas découvrir comme la fellation, la sodomie, la branlette espagnole, la cravate de notaire, la gorge profonde ou le fist-fucking. Mais elle a surtout connu son premier orgasme, à près de 40 ans. « Mon véritable dépucelage » m’a-t-elle dit.
Rachid lui triturait les seins et l’embrassait fougueusement, surtout pour tenter d’ les cris, les hurlements de jouissance de la jeune professeure qui s’envoyait littéralement en l’air, sans se préoccuper que cela pouvait attirer du monde.
Rachid était si fier de sa victoire éclair. Sylviane avait presque l’âge d’être sa mère, elle était sa plus belle conquête. Il pensait déjà à exhiber son trophée auprès de ses potes, à la cité. Voyant monter l’orgasme de la femme, il voulait se vider les couilles.
• Oh Rachid, oui, viens mon amour, vides toi en moi, fécondes moi ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
• Oh oui, salope, prends-ça !
Le jeune homme envoya de longues giclées dans le vagin de la femme mure. Brisée par la jouissance, la professeure, nue, s’effondra sur le bureau. Le sperme et sa cyprine coulaient en abondance de sa chatte. Rachid en recueillit avec ses doigts et en mit sur les seins, sur le visage de la femme, puis lui fit lécher ses doigts.
• Tu as bien joui ?
• Oh oui, jamais je ne pouvais imaginer que ça pouvait exister. Je suis à toi désormais.
• Ça c’est sûr et je compte bien en profiter. Je vois que tu aimes le sperme. Tout à l’heure, après ton cours, je t’attendrai et tu me videras les couilles à nouveau, mais avec ta bouche cette fois
C’est là que Sylviane s’aperçut de la présence de Gilbert.
• Mon Dieu, qu’est-ce que tu fais là ? Tu voulais me faire chanter, Rachid ?
• Ça peut servir, mais j’ai surtout fait ça pour avoir un témoin de ma conquête. J’avais parié que tu serais à moi. Beaucoup ne le croyaient pas ! Ça t’a plu, Gilbert ?
• C’était exceptionnel ! Qu’est-ce que tu lui as mis ! En attendant, ça m’a excité à mort. N’oublie pas ta promesse !
• T’inquiète. Je la ramènerai chez vous et on s’occupera d’elle à trois, ton père, toi et moi. Je dois l’éduquer, la prof. Ça lui fera sa première triplette !
• Rachid, tu ne me demandes pas mon avis ?
• Non, je te répète une fois pour toutes que tu es à moi désormais, tu fais ce que je dis. Et n’oublie pas que Gilbert a tout filmé.
• Pas besoin de chantage, je ferai tout ce que tu veux. Je t’aime. Et j’ai envie d’apprendre, de rattr le temps perdu. Je demande seulement que tu sois le seul à se vider dans ma chatte sans préservatif.
• Evidemment, pour des raisons de sécurité et parce que je veux t’engrosser. Avant, tu vas juste laisser mon ami Gilbert se vider les couilles sur toi. Tu l’as tellement excité !
• Mais, protesta Sylviane
• Ne discute pas ! On n’a pas beaucoup de temps. Désolé, Gilbert, je lui aurai bien dit de te sucer, mais je veux me réserver sa première pipe. Sors ta queue, elle va te branler.
• Putain, elle fait ça bien ! Je peux la toucher ?
• Evidemment, t’es mon pote, elle est à moi. Vas-y ! plote-la !
• Dis donc, elle est bien roulée. On ne pouvait pas trop s’en douter jusque maintenant.
• Désormais, elle fera en sorte qu’on puisse mater ses obus, ses jambes, son cul.
Gilbert triturait sans ménagement la poitrine de Sylviane. C’était incroyable, elle était de nouveau excitée. Gilbert mit ses doigts dans le vagin de Sylviane et commença à la doigter. Sylvaine gémit.
• Dis donc, sa chatte est béante. Quelle dose tu lui as mise et en plus elle mouille la salope !
• Fais lui lécher tes doigts. Oui, comme ça, c’est une bonne soumise.
• Je vais gicler, Rachid.
• Envoie ta sauce sur elle, en particulier sur sa gueule de pute !
Gilbert se branla avec vigueur, en moins de deux minutes il jouit sur le visage et les cheveux de la soumise. Il promena sa queue sur le visage afin d’étaler son jus.
Parce que les cours allaient recommencer, Sylvaine dut se rhabiller en catastrophe, sans pouvoir effacer complétement les traces de ce qui s’était passé.
Le dilemme de Philippe
• Voilà comment a commencé l’histoire de Rachid et de Sylviane. Quand je vous dis Monsieur T que c’est un fauve, vous devez savoir ce qu’il a fait ensuite avec Sylviane J. Comme il l’avait promis à Gilbert, il l’a ramené chez nous et nous en avons profité, Gilbert et moi. Je ne vous donne pas de détails, vous m’avez compris. Je sais aussi qu’il en a fait profiter d’autres copains à lui dans la cité.
• Et qu’est devenue Sylviane J ?
• Le scandale devenait public, d’autant que Rachid a fini par habiter chez elle une fois qu’il était devenu majeur. Entre temps, elle avait changé d’établissement, puis elle a quitté l’Académie pour éviter les sanctions qu’elle risquait de recevoir. Elle a refait sa vie ailleurs. On dit qu’elle a eu un dont le père biologique serait Rachid
• Je vois.
• Vous êtes toujours décidé à mettre un tel personnage sur la route de Madame Olga ? Vous ne me direz pas ensuite que je ne vous ai pas prévenu !
• Je vais y réfléchir.
Philippe était sorti de cette conversation décidé à écarter « l’option Rachid », trop dangereuse. Mais au fil du temps, il constatait que je déprimais de plus en plus et s’inquiétait pour ma santé physique et mentale. Les rendez-vous chez le psychanalyste et le psychologue n’y faisaient rien. Je refusais le moindre contact extérieur.
Pour en avoir le cœur net, Philippe réussit à retrouver Sylviane et elle accepta de le rencontrer.
Sylviane lui confirma ce qu’avait raconté Georges et expliqua à Philippe qu’elle avait quitté Rachid quand elle avait compris qu’elle était enceinte. Elle voulait élever sa fille loin de son géniteur et avait trouvé un compagnon qui l’aimait, acceptait d’assumer la paternité et lui laissait sa liberté sexuelle, car Sylviane ne voulait plus renoncer à l’hypersexualité que lui avait fait découvrir Rachid.
Philippe expliqua à Sylviane notre situation et tout ce qui s’était passé depuis notre rencontre, insistant sur la particularité d’un couple formé d’un candauliste refoulé et d’une hypersexuelle qui refusait de s’assumer.
• Votre femme est en souffrance. Oui, Rachid est dangereux, mais il renversera définitivement les barrières qu’Olga s’impose encore aujourd’hui. Elle a la chance que vous êtes à ses côtés, que vous l’aimez. Il vous faudra être vigilant pour empêcher que ça n’aille trop loin.
• Vous ne regrettez rien ?
• Ca a failli ruiner ma carrière et ma réputation. Mais ça a changé ma vie, m’a fait découvrir une autre vie. Je ne voudrais plus revenir en arrière, même s’il y a eu des moments très durs. Si vous n’avez pas d’autre solution, alors, allez-y, Rachid est la solution.
A la suite de cette rencontre avec Sylviane, Philippe dit à Georges qu’il avait bien réfléchi et n’avait pas d’autre solution. Georges organisa une rencontre avec Rachid.
• Salut Rachid, je te présente Monsieur T. Je lui ai parlé de toi et il a un « service » à te demander. C’est particulier, comme je t’ai expliqué, mais je lui ai dit que tu étais l’homme de la situation.
• J’ai entendu parler de lui et de sa meuf, je l’ai déjà vue, sacrément bandante et, si j’en juge par sa manière de s’habiller, elle ne devrait pas être farouche, ça devrait être plus facile qu’avec Sylviane. Alors, c’est toi qui veux être cocu et que je fasse jouir ta meuf ?
• Techniquement, je serai cocu, mais en pratique ça s’appelle candauliste. Mon plaisir est que ma femme jouisse. Et aujourd’hui, elle lutte contre sa nature, car elle a d’énormes besoins sexuels que je ne peux satisfaire. Je ne supporte plus sa frustration, sa souffrance. Je veux qu’elle soit heureuse, qu’elle ait du plaisir.
• Pas de problèmes, mec. Avec moi, elle ne sera pas déçue, elle s’enverra en l’air. Mais je te préviens, quand je m’en serai occupé, elle deviendra ma femelle, j’en ferai tout ce que je veux. J’ai besoin d’une meuf qui soit à moi, car cette garce de Sylviane s’est barrée. Ça me plait que ton Olga soit plus âgée que moi et que ce soit une bourge. Tu seras toujours son mari, mais seul moi serais son mâle, dans tous les sens du terme, donc autorisé à me vider en elle et à occuper le lit conjugal. Compris ? T’es toujours d’accord ?
• Je te l’ai dit, du moment qu’elle a du plaisir, tu as carte blanche. Je pourrai assister à vos ébats?
• Pas tout de suite, gros vicieux, il faudra des étapes mais j’adorerai la faire couiner devant toi. Mais je t’informerai immédiatement quand je l’aurai prise la première fois.
• Une dernière chose : tu me confirmes que tu es sain.
• Je ne suis pas fou, je fais attention à ça. Tout est en ordre et Olga sera la seule avec qui j’aurai des rapports non protégés. J’espère qu’elle est saine aussi !
• Evidemment. Elle a fait tous les contrôles nécessaires après ce qui s’était passé à Rio et, depuis, plus rien. C’est pour ça, en désespoir de cause, que je fais appel à toi, que je t’offre mon épouse. Comment comptes-tu t’y prendre ?
• Je vais commencer par la suivre, pour connaître ses habitudes et décider à quel moment je passe à l’action. Tu peux me faire confiance, tu peux considérer que tu es déjà cocu.
(A suivre : Olga et Rachid)



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